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Ohoettilto-5 (oho-et-til-to-5)
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Site. Partie 15. (10 pages environ.)

  Pour lire ce qui précède, cliquer ici.

 

À L’ONGLET 2, PARTIE 3 : LE GROUPE 4

Titre : Énergie Renouvelable, « Renewable Energy ». 2 pages.


O2P3G4, PAGE 1. Titre : Biogaz, énergie issue des biodéchets, « Biogas, Energy from Biowaste ».
[…]
La période d’installation est terminée en une journée.
La fabrication modulaire et la production d’éléments [qui sont] de qualité contrôlée.
Deux modèles existent : le tambour flottant de 2, 3 et 4 m3 et le Deenbandhu de 2 m3.
Auroville Building Center fabrique les installations de biogaz de ferrociment même pour les îles Andaman et Nicobar. La commercialisation est faite sous Aurore Systems and Products.
« […]

The installation period is completed in one day.
The modular fabrication and production of quality controlled elements.
Two models exist: the floating drum of 2, 3 and 4 m3 and the Deenbandhu of 2 m3.
Auroville Building Centre manufactures the ferrocement biogas plants even for the Andaman and Nicobar Islands. The marketing is done under Aurore Systems and Products. »

Il est parlé de deux institutions dont la première seulement est présentée.

O2P3G4, PAGE 2. Titre : Village solaire, « Solar Village ».
Le moteur de recherche Solar Village, lancé le 5 décembre 2018, est un projet basé à Auroville et supervisé par Auroville Consulting.
Le moteur de recherche de Village Solaire est un outil de financement participatif qui utilise les revenus publicitaires des recherches sur Internet pour financer des panneaux solaires pour les villages ruraux du Tamil Nadu. […]
[…] Initiative Village Solaire fait partie d’Auroville Consulting, une société de conseil en environnement basée à Auroville. […]
Fondé en 2010, Auroville Consulting a pour objectif de faire du monde un endroit plus vert et meilleur. Auroville Consulting est une unité de la Fondation Auroville.
« The Solar Village Search Engine, launched 5 December 2018, is a project based out of Auroville and overseen by Auroville Consulting.
The Solar Village Search Engine is a crowdfunding tool that uses ad revenue from internet searches to fund solar panels for rural villages in Tamil Nadu. […]
[…] The Solar Village Initiative is a part of Auroville Consulting, an environmental consulting firm based out of Auroville. […]
Founded in 2010, Auroville Consulting aims to make the world a greener, better place. Auroville Consulting is a unit of the Auroville Foundation. »

Il semble qu’il soit d’abord parlé d’une institution nommée (en français) Initiative Village Solaire, qui fait partie d’une autre institution, qui est nommée Auroville Consulting. Quelle est leur relation ?
Cette dernière institution est une unité d’une autre institution nommée Fondation Auroville. Quelle est leur relation ?
L’institution nommée Auroville Consulting et celle nommée Fondation Auroville ne furent pas présentées avant, et cette première ne l’est sur cette page qu’en disant qu’elle est une unité de la deuxième.



À L’ONGLET 2, PARTIE 3 : LE GROUPE 5

Titre : Déchets et pollution, « Waste & pollution ». 2 pages.


O2P3G5, PAGE 1. Titre : Gestion des déchets, Éco-service Auroville, « Waste Management, Auroville Eco-Service ».
EcoService d’Auroville gère les déchets solides du township international Auroville. […]
Une équipe EcoService collecte les déchets des ménages, des communautés, des maisons d’hôtes, des restaurants et des unités, puis une autre équipe les traite dans un centre de tri à Kottakarai. Les déchets sont ensuite soit vendus à des revendeurs de recyclage, soit mis en décharge à la décharge d’Auroville.
[…] Créé en 1992 par Stefano, EcoService est actuellement géré par quatre cadres, un coordinateur, un chauffeur, deux collecteurs et six trieurs de déchets.
« Auroville’s EcoService manages solid waste for the international township of Auroville. […]
An EcoService team collects waste from households, communities, guest houses, restaurants and units, and another team processes it at a sorting shed in Kottakarai. Waste is then either sold to recycling dealers, or landfilled at the Auroville landfill.
[…] Initiated in 1992 by Stefano, EcoService is currently managed by four executives, one coordinator, one driver, two collectors, and six waste-sorters. »

Une institution d’Auroville est présentée.
D’autres sont seulement évoquées par : communautés, maisons d’hôtes, restaurants, unités.
Littéralement, ce dernier mot ne désigne pas les institutions qui sont à côté.

 O2P3G5, PAGE 2. Titre : Moins de déchets, « WasteLess ».
WasteLess (MoinsDeDéchets) est une entreprise sociale à but non lucratif dédiée à la modification des habitudes néfastes qui affectent la manière dont nous produisons les déchets, les éliminons et les pensons. […] Notre équipe […]. C’est ce qui rend WasteLess différent.
« WasteLess is a non-profit social enterprise dedicated to changing the harmful habits that affect the way we make, dispose of and think about waste. Our team, […]. This is what makes WasteLess different. »

Précisément, qu’est-ce qu’une entreprise sociale ? Ça n’est pas dit.
Puisqu’il y a la précision à but non lucratif, c’est qu’il existerait des entreprises sociales qui ont un tel but.
Une institution d’Auroville est présentée.

 

 

CHAPITRE 17

BILAN SUR LA PARTIE 3 DE L’ONGLET 2

 

On peut entrevoir ce qu’il fut voulu faire dans cette partie : parler de la base matérielle. On présenta donc la terre avec son eau ou son absence, ses êtres vivants d’avant l’humain (végétaux et animaux sauvages), donc, d’abord les forêts, puis la nature traitée pour produire de la nourriture.
À cette occasion, on parla des problèmes qu’il y avait et de la manière de les traiter qui est, pour le dire en un seul mot (qui est à la mode), écologique. Il y a la protection de la nature et son utilisation pour produire, de manière saine, de la nourriture saine.
Et on se retrouva donc en train de parler d’énergie et de déchets, traités aussi de manière écologique.
Pour tout ça, on se retrouva en train de parler de principes et de leurs conséquences et en présentant des institutions.

D’abord, il y a des défauts qui sont dans les parties précédentes. L’onglet 2 est censé relatif à des Activités d’individus, les Auroviliens, qui n’ont pas encore été présentés : comment un individu devient un Aurovilien ? quel est le statut d’un Aurovilien ? Et avant de parler de ces habitants d’une ville, il faudrait raconter l’histoire de la création de cette dernière, ce qui n’a pas encore été fait à ce moment du site commenté.
Cet onglet 2 est censé relatif à des Activités mais ce sont des domaines d’activités qui le sont. Pour un onglet d’internet, on voulut un seul mot mais ce n’est pas un argument valable. On pouvait mettre, en français : Dom. d’Activ. À première vue, ça aurait pu être énigmatique mais dès l’ouverture du menu déroulant et sa lecture on aurait compris, et de manière définitive.

Par ailleurs, le nom Pratiques vertes, « Green Practices » n’est pas un nom de domaine d’activités mais il désigne, à propos de certaines de celles-ci, la manière de les accomplir. En plus, avant de parler de pratiques, il faudrait présenter la conception dont elles sont les conséquences. On pourrait écrire : Règles vertes, signifiant Règles écologiques. Il y aurait d’abord les règles théoriques, puis les règles de la pratique. Et il faudrait distinguer les règles de leurs conséquences.

Mais il y aurait encore le problème que ce n’est pas à l’occasion de règles de fonctionnement que l’on présente des activités, et ce n’est pas à l’occasion de celles-ci que l’on présente les entités, les organismes, les institutions, qui en sont les auteurs. Le faire, c’est agir à l’envers.

On peut envisager que, quelque part sur un site internet, il y ait une section où il y aurait toutes les règles théoriques et pratiques en vigueur à Auroville (sauf la règle « pour séjourner à Auroville il faut être le serviteur volontaire de la Conscience Divine » et ce qui va avec, qui doivent absolument être présentés avant). En ce cas, il faudrait commencer par placer tous les messages de la Mère qui se rapportent à l’agriculture, à l’argent, à l’éducation, etc. Pour chacun de ces domaines, il y aurait ensuite les règles établies par Auroville qui en découlent. Aucune institution de cette ville ne serait présentée en même temps et il n’y aurait le nom d’aucune.
Lorsque celles-ci seraient présentées après, à leur place, il n’y aurait aucune présentation de ces règles. Lors de la présentation de la Ceinture verte, il y aurait celle de ses quartiers, de ses fermes, etc. Pour d’autres territoires d’Auroville, on dirait aussi ce qui s’y trouve, par exemple les jardins de l’Aire centrale.

 

 

 CHAPITRE 18

À L’ONGLET 2, LA PARTIE 4
ÉDUCATION ET RECHERCHE, « EDUCATION & RESEARCH »

 

Titre de la partie 4 : Éducation & Recherche, « Education & Research. 35 entrées, c’est-à-dire 35 liens, correspondant à 35 pages.
La Liste de tous, « Listing All », liste de tous les liens, montre que ceux-ci sont répartis en 5 groupes.
Éducation & Recherche, « Education & Research » : 7. Il n’est pas bien qu’un groupe ait le même nom que l’ensemble dont il fait partie.
Institut international Sri Aurobindo de Recherche sur l’Éducation, « SAIIER – Sri Aurobindo International Institute of Educational Research » : 1.
Écoles, « Schools » : 12.
Éducation sans fin, « Unending Education » : 11.
Éducation physique, « Physical Education » : 4.

Pour les groupes 1, 2, 3 et 5, presque rien n’est dit ici, car la personne qui lit peut savoir en gros de quoi il est parlé dedans, même si leur contenu ne correspond pas au titre et que ça mériterait d’être présenté. Certaines pages sont des généralités sur les sujets de cette partie, d’autres présentent des institutions (l’institut dont le nom est le titre d’un groupe d’une page, des écoles, des bibliothèques, des Centres de sports, etc.) et, pour d’autres, on n’a pas passé de temps à tenter de savoir si elles correspondent ou non à une institution ou à un programme mis en œuvre par une institution présentée ailleurs ou à autre chose.

Pour le groupe 4, plusieurs institutions auroviliennes sont présentées chacune sur une page et aucune n’a pas été regardée.
Ce groupe commence par la page 1 dont voici quelques extraits.

Nous visons à former des êtres humains aussi complets que possible dans le respect du svabhava et du svadharma, la vraie nature et la loi de développement de chacun. D’où la référence à l’éducation intégrale, développant les instruments du mental, de la vie et du corps, en relation avec l’être intérieur, et ouverte à une conscience supérieure et plus vraie, qui n’a pas besoin d’être présentée ici.
« We aim at forming human beings as complete as possible in the respect of the svabhava and svadharma, the true nature and law of development of each one. Hence the reference to integral education, developing the instruments of mind, life and body, in relation to the inner being, and open to a higher and truer consciousness, which needs not to be presented here. »

Était-il utile d’employer les mots « svabhava » et « svadharma » ?
Est-ce que le groupe de mots : développant les instruments du mental, de la vie et du corps signifie : développant les instruments que sont le mental, la vie et le corps matériel ?
Est-ce que le nom être intérieur inclue le psychique au sens précis du vocabulaire caractéristique de Sri Aurobindo et la Mère ? Est-ce que ce mot aurait dû être écrit afin de s’exprimer de manière précise ?

la ville entière devient un vaste campus d’éducation sans fin et de progrès constant, « the whole city becomes a vast campus of unending education and constant progress ».
Auroville a émergé comme un vaste campus, « Auroville has emerged as a vast campus ».
Le mot campus est relatif à un lieu où il y a des enseignants et des enseignés. Cette conception d’Auroville est une des folies qui sont à la mode dans cette ville. Celle-ci pas à être cela. Il y a une incompréhension de la notion d’éducation sans fin qui est dans la Charte.

Préparer les Étudiants à l’Inattendu
Les caractéristiques du monde dans 20 ans sont inconnues, sauf qu’elles seront riches en nouveaux défis d’une ampleur et d’une complexité sans précédent. Pourtant, il semble que partout les étudiants soient conditionnés pour s’intégrer dans le monde insoutenable d’hier. Auroville doit préparer les étudiants à être prêts pour un monde qui n’existe pas encore, à penser en-dehors des idées préconçues et à faire face à de nouveaux défis de manière créative et coopérative, portés par la foi qu’un nouveau monde est possible. Il n’y a pas de système de certificat existant pour valider cela. Le moyen le plus sûr de préparer les étudiants à un avenir difficile mais inconnu est de les aider à développer leur personnalité autant intégralement que possible et de les préparer à entrer dans un processus d’apprentissage sans fin.
« Preparing the Students to the Unexpected
The characteristics of the world in 20 years from now are unknown, except that they will be rich in new challenges at an unprecedented scale and complexity. Still, it seems that everywhere students are conditioned to fit in the unsustainable world of yesterday. Auroville has to prepare the students to be ready for a world that doesn’t exist yet, to think out of preconceived ideas, and to face new challenges in a creative and cooperative manner, carried by the faith that a new world is possible. There is no existing certificate system to validate this. The surest way to prepare the students to a challenging but unknown future is to help them to develop their personality as integrally as possible and to prepare them to enter an unending process of learning. »

Lesdits étudiants seraient amenés à penser selon l’endoctrinement effectués par l’auteur et les Auroviliens qui pensent comme lui, en étant portés par une croyance. Rien n’est dit concernant la manière d’agir pouvant commencer immédiatement, celle de s’occuper d’être le plus possible « le serviteur volontaire de la Conscience Divine », ce qui peut commencer par suivre son guide intérieur, son psychique. (D’abord, comprendre ce que c’est, reconnaitre en soi ce que c’est, etc.) Pourtant, c’est cela qui est appelé : les aider à développer leur personnalité autant intégralement que possible !
L’auteur considère que son projet fait préparer à entrer dans un processus d’apprentissage sans fin. Il est probablement vrai que l’endoctrinement qu’il promeut mène à la manière de vivre, à la vie, de sa conception mauvaise, sauf si certains individus échappent à l’endoctrinement pour se comporter de manière meilleure, par exemple celle indiquée dans la Charte par : « être le serviteur volontaire de la Conscience Divine ».

Justice et Résolution des Conflits
Dans presque tous les conflits, nous trouvons deux côtés, chacun prétendant avoir raison et l’autre avoir tort, demandant aux organes officiels de leur donner une auguste reconnaissance et sanction. [Dans un autre § :] Mais l’un gagnant sur l’autre n’est pas une justice, et aucune vérité ne peut revendiquer des droits exclusifs contre d’autres vérités, aussi défigurées qu’elles se présentent. […] Le but n’est pas de décider qui a raison ou tort mais de faire progresser chacun vers une meilleure compréhension mutuelle, seule base de vraies solutions.
« Justice and Conflict Resolution
In almost every conflict we find two sides, each one claiming to be right and the other to be wrong, asking the official bodies to give them an august recognition and sanction. [Dans un autre § :] But one winning over the other is no justice, and no truth can claim exclusive rights against other truths, however disfigured they presents themselves. […] The aim is not to decide who is right or wrong but to have everyone make a progress towards a better mutual understanding, the only basis for true solutions. »

Puisqu’il est parlé de presque tous les conflits, que sont ceux qui ne sont pas comme décrit ? Rien n’en est dit.
Dans quel groupe de conflits est l’opposition entre les partisans du projet d’Auroville de mars 66, en forme d’étoile imbriquée avec le symbole de la Mère et les partisans de la forme de galaxie ?
Même question pour les opposants à l’appropriation d’Auroville par l’Inde, c’est-à-dire les opposants à la loi indienne de 88, et les partisans de celle-ci ?
À propos de l’élément principal qui devrait être celui du comportement des Auroviliens, même question pour les partisans d’un idéal, des idéaux, et pour ceux de la règle « il faut être le serviteur volontaire de la Conscience Divine » (à mettre en pratique).
Dans le cadre de la seule sorte de conflits envisagée par l’auteur, il n’y aurait que des conflits entre plusieurs vérités ! Même des erreurs et des mensonges reçoivent ce nom ! Il y a une grande ouverture aux forces hostiles.
Le commentaire pourrait être continué.

Le modèle de gouvernance par lequel un groupe parvient à remporter la majorité et impose ensuite sa vision aux autres entre en contradiction directe avec les idéaux d’Auroville de synthèse et de conciliation d’harmonie, « The model of governance by which a group manages to win the majority and then imposes its view to the rest comes into direct contradiction with Auroville ideals of synthesis and reconciliating harmony ».
Pourtant, la domination par la majorité est en vigueur à Auroville, à propos de la forme de galaxie, de l’acceptation de la loi indienne de 88 et d’autres sujets. (Et, au nom de l’unité humaine, l’existence d’individus minoritaires n’est pas indiqués et il semble que ceux-ci aient tendance à ne pas faire parler d’eux à l’époque en cours afin de ne pas risquer des sanctions).
Dans le texte commenté, il y a une incompréhension de la notion d’unité humaine qui n’empêche pas des conflits, ou tout simplement une incompréhension du fait que suivre son guide intérieur peut mener à des conflits. Il y a implicitement la doctrine que le guide intérieur devrait se soumettre à un idéal (mental), devrait se soumettre au mental.

La possibilité de remplacer les affirmations exclusives par un mouvement synthétique de connaissance est au cœur de la pensée de Sri Aurobindo et d’une injonction répétée de La Mère. « The possibility to replace exclusive assertions by a synthetic movement of knowledge is the core of Sri Aurobindo’s thought and a repeated injunction of The Mother. »
Il y a une incompréhension de l’apport de Sri Aurobindo à ce sujet.
Concernant ladite injonction répétée de la Mère, il y a, comme indiqué, que c’est celle-ci vivant à Pondichéry qui disait cela, c’est-à-dire que l’enjeu était de se soumettre à elle, pas de se soumettre à un idéal.
Les auteurs du texte sont-ils habitués à se soumettre aux forces en place ?

Ici aussi, il n’y a pas de modèle vers lequel se tourner ; la méthode doit être élaborée de manière expérimentale, où tout le projet collectif se transforme en un champ d’une éducation sans fin stimulante et d’un progrès constant. « Here also, there is no model to turn to; the method has to be worked out experimentally, where the whole collective project is turned into a field of a challenging unending education and constant progress. »
Il y a la règle que, « pour séjourner à Auroville, il faut être le serviteur volontaire de la Conscience Divine ». Lorsque plusieurs individus faisant cela se retrouvent en conflit, continuer d’appliquer la règle.

[…] l’élément le plus important d’Auroville est qu’elle est un lieu orienté vers la création du futur et offert à lui. […] […], une cité fondée sur le principe de l’éducation sans fin et du progrès constant, offert à une conscience plus élevée et plus vraie fait une différence, palpable dans l’atmosphère. Cette expérience pourrait être diffusée en augmentant nos capacités à accueillir une variété d’ateliers et d’activités d’apprentissage dans différents domaines d’excellence. Un lieu engagé dans l’invention du futur a quelque chose à offrir à ceux qui sont aussi en quête d’avenir.
« […] the most important element of Auroville is that it is a place oriented towards and offered to the creation of the future. […] […], a city founded on the principle of unending education and constant progress offered to a higher and truer consciousness makes a difference, palpable in the atmosphere. This experience could be spread by increasing our capacities to welcome a variety of workshops and learning activities in different domains of excellence. A place committed to the invention of the future has something to offer to those who are also in search of the future. »

Auroville n’est pas fondée sur ce qui est indiqué car elle existe dans le cadre de la manifestation supramentale et sa règle de base est que « pour séjourner à Auroville, il faut être le serviteur volontaire de la Conscience Divine », ce que l’auteur omet.
Il est parlé d’une conscience plus élevée et ce dernier mot semble omettre le psychique, ce qui confirme ce qui est écrit dans la phrase précédente.
Il est parlé de la création du futur, de son invention, et ça exprime l’idée que des individus, agissant par eux-mêmes, font cela. Ça existe ordinairement partout dans le monde. Les Auroviliens comme d’autres individus dans le monde sont censés contribuer à manifester le futur, pour reprendre ce dernier mot de l’auteur, celui annoncé par Sri Aurobindo et la Mère, et ça se fait en s’occupant d’être, chacun à sa mesure, « le serviteur volontaire de la Conscience Divine », pour reprendre l’expression de la Charte.
L’auteur dit que ladite expérience dont il parle pourrait être diffusée. Elle ne le mérite pas. L’auteur devrait cesser de diffuser sa doctrine corruptrice de ce qu’est Auroville.

[…] la Mère nous a laissés orphelins des piliers rassurants des valeurs passées et présentes. C’est assez paniquant et suscite souvent la nostalgie de schémas de pensée et d’action plus familiers. Mais l’aventure a été donnée pleinement, à nous de choisir et de tenter, non pas comme un dogme à appliquer, mais comme une aventure expérimentale dans l’inconnu de demain.
« […] the Mother left us orphaned of the reassuring pillars of past and present values. It is panicking enough and often raises the nostalgia of more familiar schemes of thought and action. But the adventure has been given fully, for us to choose and to attempt, not as a dogma to be applied, but as an experimental adventure in the unknown of tomorrow. »

L’auteur semble exprimer que son développement naturel de l’adolescence ou de peu après ne l’avait pas poussé à rejeter des règles et manières de vivre du monde dans lequel il s’était retrouvé et qui étaient visiblement contraires à l’apport de la Mère (selon ce qu’il en comprend).
Par ailleurs, voilà donc où en est encore l’auteur ! Il est encore accroché à son passé d’avant sa connaissance de l’apport de Sri Aurobindo et la Mère (selon ce qu’il en comprend) !
Il en est encore à se demander s’il doit s’engager ou non dans leur voie, selon ce qu’il en comprend, et qui, pour lui, semble ne pouvoir être pratiquée qu’à Auroville, ce qui est une erreur.
Ce qu’il appelle inconnu de demain est seulement la conception qu’il s’en fait.
Il devrait se mettre à s’occuper d’entrer dans l’inconnu de son présent, en commençant par s’occuper d’être le plus possible « le serviteur volontaire de la Conscience Divine », en commençant par s’occuper de suivre son guide intérieure mais l’auteur n’y pense même pas.
Faire cela ne serait pas l’application d’un dogme.
L’auteur préfère discourir comme il le fait.

Les écoles d’Auroville, comme toutes les autres activités d’Auroville, sont placées au cœur de cette expérience et elles en tirent le sens et la valeur de leur travail. « The Auroville schools, as all other activities of Auroville, are set in the heart of this experiment and they draw from it the meaning and value of their work. »
Si ce que l’auteur annonce était vrai, aucun Aurovilien et aucune institution aurovilienne n’aurait encore commencé à être bien positionné.

Enfin, concernant un sujet dont rien n’est dit pour ne pas allonger encore, une chose est certaine : si un Français participa à la rédaction de ce texte, il ne fait pas partie de ce que produisit la France au meilleur d’elle-même, il ne comprend pas ce qui fut produit.

 

 

CHAPITRE 19

À L’ONGLET 2, LA PARTIE 5 :
ART ET CULTURE, « ART & CULTURE »

 

Selon ce titre, l’art ne ferait pas partie de la culture, et celle-ci ne concernerait pas l’art : il n’est pas bien de dire ça.
Il y a la présentation de généralités, d’institutions, d’individus : des danseurs, des musiciens et d’autres créateurs divers, une page pour chacun.
Parmi les photographes, il y a la française Dominique Darr qui n’était pas une Aurovilienne.
Rien n’a été lu pour ici.

 

 

CHAPITRE 20

À L’ONGLET 2, LA PARTIE 6 :
SANTÉ ET BIEN-ÊTRE, « HEALTH & WELLNESS »

 

Titre : Santé et Bien-être, « Health & Wellness ».
Il y a la présentation de généralités, d’institutions (Centre de soins, Centre dentaire et d’autres), des numéros de téléphone en cas d’urgence pour la santé ou pour appeler une ambulance, et des conseils et des règles en cas de morsures par un chien, notamment enragé, de piqûre par un scorpion ou un serpent, etc.
Il y a aussi de tels numéros en cas d’incendie ou de besoin d’agents de sécurité. (Qui aurait l’idée d’aller les chercher sur la page de la santé !?)
Il y a des pages sur des lieux de restauration dans Auroville, sur la production d’herbes médicinales, la nourriture préparée expressément pour soigner, une boulangerie, la spiruline avec son lieu où elle est produite, une entreprise de transformation de matières premières alimentaires en produits vendus en paquets ou autrement, des sports (martiaux ou non).

D’abord, il ne faudrait pas classer cela à Activités.
Il n’y a pas de page sur l’eau potable alors qu’elle contribue à la santé, elle empêche de se retrouver malade.
Le classement est évidemment mauvais. Une cause est que, sur le site internet d’Auroville, celle-ci n’est pas présentée par ses institutions décisionnaires et les autres, ses bibliothèques, ses lieux de productions de nourriture en tout genre, ses entreprises de transformation de matières premières alimentaires en produits vendus en paquets ou autrement, et tous les autres établissements (gymnases, cours divers, salles de spectacles, etc.) Il y eut donc un regroupement selon ce qui parut le mieux mais le résultat n’est pas bon.

 

 Pour lire la suite, cliquer ici.

 

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