Site. Partie 68. (6 pages environ.)

—Pour lire ce qui précède, cliquer ici.

—La deuxième citation est un passage du tome 5 de L’Agenda de Mère, entretien du 11 mars 1964* dont voici le passage complet sur le sujet. (Un extrait de cela est en note n° 29 du Book 1.
—La Mère : « Je vais te lire quelque chose.
—Il s’agit d’un Américain qui est venu ici avec toutes les idées américaines, et qui a fait une enquête sur tout (la façon dont les services étaient organisés, etc.) et qui m’a envoyé son rapport où il disait que tout manque d’organisation, de structure mentale... Je n’avais pas l’intention de lui répondre, mais avant-hier, juste au moment où j’allais me retirer pour la nuit, Sri Aurobindo m’a dit avec insistance – il est venu me dire : "Voilà ce qu’il faut dire à T", et il a insisté jusqu’à ce que je l’aie écrit – il a fallu que je l’écrive !
—["] Sri Aurobindo has told us (it’s he himself who said it) and we are convinced by experience that above the mind there is a consciousness much wiser than the mental wisdom, and in the depths of things there is a will much more powerful than the human will.
—All our endeavour is to make this consciousness and this will govern our lives and action and organise all our activities. It is the way in which the Ashram has been created. Since 1926 when Sri Aurobindo retired and gave me full charge of it (at that time there were only two rented houses and a handful of disciples) all has grown up and developed like the growth of a forest, and each service was created not by any artificial planning but by a living and dynamic need. This is the secret of constant growth and endless progress. The present difficulties come chiefly from psychological resistances in the disciples who have not been able to follow the rather rapid pace of the sadhana and the yielding to the intrusion of mental methods which have corrupted the initial working.
—A growth and purification of the consciousness is the only remedy. ["]
————(traduction)
—"Sri Aurobindo nous a dit, et nous sommes convaincus par l’expérience, qu’au-dessus du mental, il y a une conscience beaucoup plus sage que la sagesse mentale, et que, dans la profondeur des choses, il y a une volonté beaucoup plus puissante que la volonté humaine.
—"Tout notre effort est de faire gouverner notre vie, notre action et d’organiser toutes nos activités par cette conscience et cette volonté. C’est de cette façon que l’Ashram a été créé. Depuis 1926, quand Sri Aurobindo s’est retiré et qu’il m’a donné toute la responsabilité de l’Ashram (à cette époque, il n’y avait que deux maisons louées et une poignée de disciples), tout a grandi et s’est développé comme une forêt qui pousse et chaque Service a été créé non pas selon un plan artificiel mais par une nécessité vivante et dynamique. C’est le secret de la croissance constante et du progrès sans fin. Les difficultés actuelles viennent principalement des résistances psychologiques dans les disciples ; ils n’ont pas été capables de suivre l’allure assez rapide de la sâdhanâ et ont cédé à l’intrusion de méthodes mentales qui ont corrompu le fonctionnement initial.
—"La croissance et la purification de la conscience sont le seul remède." »


—PARTIE 3 : HISTOIRE DE LA CRÉATION ORGANIQUE D’AUROVILLE DEPUIS AOUT 64 JUSQU’À LA MAQUETTE DE MARS 1966*

—Développer ce qui suit en faisant des pages pour des périodes, une pour chaque période, avec éventuellement, si nécessaire, plus de périodes que celles indiquées ci-après, d’après ce qui est à dire.

—En aout 1964*, réunion de la Sri Aurobindo Society avec le lancement de son projet de créer, au sud-ouest de l’Auroville actuelle un quartier d’habitations.
—Suite jusqu’avant le projet de la Mère en juin 65 : acquisitions de terrains, création des premières habitations, prise en main du projet par la Mère et son élargissement mais sans plus avec la nomination Auroville de ce quartier.
—Par rapport au projet existant, Huta eut la volonté d’y avoir une maison pour elle-même, puis une pour la Mère, et ce souhait fit qu’en la Mère apparut son projet de juin 65.
—Ce projet de juin 65 : le Pavillon de la Mère au centre avec une aire autour, quatre parties égales autour avec de petites zones intermédiaires entre elles du côté opposé au centre.
—Suite avec l’entretien de septembre 65 entre la Mère et Roger Anger, le choix de l’emplacement définitif pour la ville et qui était en situation de quasi-désert, etc., et suite jusqu’à la maquette de mars 66 incluse, avec la réaction de la Mère.
—Exposition à Pondichéry et brochure publiée.

—Au cours de cela, et au bon endroit, donner pour Auroville la définition précise des mots suivants :township, ville, cité, et d’autres s’il y en a, c’est-à-dire l’étendue territoriale qui correspond à chacun. Donc, dire ce qui est synonyme et ce qui ne l’est pas.


—PARTIE 4 : SUITE DE L’HISTOIRE DE LA CRÉATION D’AUROVILLE AVEC NOTAMMENT L’INTERVENTION DE L’ÉGO DÉFORMATEUR DE ROGER ANGER, JUSQU’AVANT L’INTERVENTION DE PAOLO TOMMASI

—Suite de l’histoire jusqu’à la maquette de mars 67 incluse, incluant notamment le soutien apporté par l’Unesco le 29 novembre 1966*, seulement à ce qu’elle acceptait d’Auroville et où il n’y a pas l’essentiel.
—Suite jusqu’à la maquette de janvier 68 incluse, en indiquant évidemment que la dérive d’Anger l’avait mené à supprimer une représentation du Matrimandir.
—Suite jusqu’au 27 février 68, avec notamment la rédaction de la Charte.
—Parler de ce qui avait existé jusqu’alors concernant la forme de l’Urne et sa contestation.


—PARTIE 5 : LA CÉRÉMONIE DU 28 FÉVRIER 68

—Tout sur cette cérémonie de fondation d’Auroville et de dédicace à la Conscience divine, en étant précis (comme partout ailleurs sur le site), notamment à propos des entités qui déposèrent de la terre dans l’Urne.


—PARTIE 6 : SUITE

—Suite jusqu’avant le 30 décembre 69, notamment une autre décision de l’Unesco le 20 novembre 68.


—PARTIE 7 ET D’AUTRES ÉVENTUELLES : SUITE DE L’HISTOIRE DE LA CRÉATION D’AUROVILLE À PARTIR DE L’INTERVENTION DE PAOLO TOMMASI JUSQU’AU 17 NOVEMBRE 73 INCLUS

—Suite à partir du 30 décembre 69, intervention de Paolo Tommasi en faveur du Matrimandir jusqu’à ce que Roger Anger accepte de s’occuper de la conception et de la construction du Matrimandir, avec la conséquence concernant la maquette qui commença à être mise en application, celle de mars 66.
—Suite jusqu’à la mort de Mirra Alfassa / la Mère le 17 novembre 1973*, en divisant en plusieurs parties selon les faits à valoriser.)
—Selon ce qui est à dire, répartir en plusieurs parties.


—CONCERNANT LES PARTIES PRÉCÉDENTES À PARTIR DE LA N° 3

—Dans ce qui précède, insérer des textes de la Mère concernant le statut d’Aurovilien, etc., mais pas tous les messages de la Mère car il faut tenir compte de ce qui est plus loin.
—Si avant le 17 novembre 73, il exista au moins une période où Roger Anger ne s’occupa plus de la construction du Matrimandir mais fut remplacé, il faudrait au moins une page pour chaque période.


—PARTIE SUIVANTE : AUTRES RÈGLES CONCERNANT LA VIE À AUROVILLE OU : IDÉOLOGIE EN PLUS DE CE QUI PRÉCÈDE

—Seulement des citations de la Mère.
—Il y a une page pour la propriété, une page pour l’argent, une page pour les règles d’agriculture, une page pour les moyens de transport, une pour la sécurité des personnes et des biens, une à propos de l’expression unité humaine, etc. Elles sont classées selon l’ordre considéré le meilleur.
—Ne jamais les répéter dans la suite du site internet car tout ce qui existe dans Auroville est censé exister dans leur cadre.


—PARTIE SUIVANTE : LIGNÉE HISTORIQUE

—La ville d’Akhenaton.
—Texte de la Mère titré : Un Rêve.
—Ne pas parler ici du texte écrit par la Mère qui fut publié en avril 52 et qui concerne un établissement ashramite d’enseignement à Pondichéry.


—PARTIE SUIVANTE : PRÉCISIONS

—SECTION : AUROVILLE N’EST PAS UNE VILLE PARMI D’AUTRES VILLES EXPÉRIMENTALES

—Auroville est la seule ville créée par la Mère et avec le Matrimandir. Aucune autre ne peut être ainsi. Cette ville n’en est donc pas une parmi d’autres villes du genre expérimental.
—Lorsqu’une entité notable annonce qu’Auroville est placée dans une telle liste, cette ville devrait protester pour s’y opposer, et publier sa lettre dans la présente partie.
—Pareil lorsqu’une entité annonce qu’Auroville correspond à son propre idéal alors que celui-ci est autre chose que ce pour quoi cette ville est faite.


—AUTRE SECTION : AUROVILLE NE RELÈVE PAS DE L’UTOPIE

—Pour toute personne qui croit à l’existence de la manifestation supramentale qui commença par l’action de Sri Aurobindo et la Mère et qui continue, Auroville existe dans ce cadre et il y a la certitude qu’elle se développera et deviendra ce qu’elle doit être, et peu importe le temps qu’il faudra pour cela et les obstacles. Cette ville n’est donc pas une utopie.
—Les individus qui parlent de cette ville en la disant relever d’une utopie montrent qu’ils n’ont rien compris de son essentiel, qu’ils ignorent d’ailleurs peut-être. Ils ne s’intéressent qu’à des éléments superficiels, des conséquences : pas d’argent (selon ce qui est annoncé), etc.
—Chacun peut dire ce qu’il veut qui ne devrait avoir aucune influence sur les gens intéressés par ce processus de manifestation et, donc, par Auroville. Les gens qui accordent de l’importance à ce que racontent ces gens qui n’ont rien compris révèlent ce qu’ils valent.


—AUTRE SECTION : LADITE UNITÉ HUMAINE RELATIVE À AUROVILLE N’EST PAS DE LA NIAISERIE MENTALO-SENTIMENTALE

—À propos d’unité humaine, la signification de cette notion est présentée à l’onglet 1. L’unité humaine pour laquelle Auroville est faite n’est donc pas de la niaiserie mentalo-sentimentale. Développer.


—AUTRE SECTION : LADITE UNITÉ HUMAINE NE SERA PAS PRODUITE PAR QUELQUES HUMAINS HABITANT AUROVILLE

—L’unité humaine pour laquelle Auroville est faite ne sera pas produite seulement par quelques habitants indépendamment du reste de l’humanité. Une preuve de cela est l’existence de la Zone internationale prévue pour cette ville, qui est faite pour des Pavillons de pays, de pays, pas de quelques Agités d’Auroville et d’ailleurs. Chacun de ces Pavillons apparaitra donc en conséquence d’un grand pas évolutif fait dans ce pays par sa nation. Pour l’instant, il n’y a que le Pavillon de l’Inde (dont ses titulaires n’ont pas encore une bonne conception).
—Voici une citation du livre titré Éducation, édité par Sri Aurobindo Ashram Trust en 81, 555 pages. Dedans, il y a notamment la reproduction d’un article écrit par la Mère qui avait été publié en avril 52 dans le Bulletin dont le titre fut d’abord Bulletin d’Éducation physique avant de devenir Bulletin du Centre International d’Éducation Sri Aurobindo.
—P. 46, il y a ceci. « […] l’unité de la race humaine ne peut être accomplie ni par uniformité, ni par domination et sujétion. Seule l’organisation synthétique de toutes les nations, chacune occupant sa vraie place suivant son génie propre et le rôle qu’elle doit jouer dans l’ensemble, est capable de produire une unification compréhensive et progressive qui aura quelque chance de durer. Et pour que la synthèse soit vivante, le groupement doit se faire autour d’une idée centrale aussi large et haute que possible, dans laquelle toutes les tendances, même les plus contradictoires, peuvent trouver leur place respective. Cette idée plus haute est de fournir aux hommes les conditions de vie nécessaires pour qu’ils puissent se préparer à manifester la force nouvelle qui créera la race de demain. »
—Il y a l’idée que c’est « la force nouvelle », la force supramentale, qui crée quelque chose. Ça se fait par l’ouverture d’humains à elle, avec sa réception graduelle et les conséquences.
—Il y a aussi l’idée que chaque nation (méritant d’exister) évoluera, se transformera, jusqu’à devenir capable de manifester « la force nouvelle ». (Ça se constatera par les conséquences.) Il y a donc aussi l’idée que des membres de chacune de ces nations agissent et agiront, là où ils sont, pour que leur nation puisse finir par évoluer ainsi.
—Il y a aussi l’idée que ce sont toutes les nations ayant évolué jusqu’à être ainsi qui, par résultat, se retrouveront en train de créer de l’unité humaine.
—Il y a aussi ce qui concerne la création de « la race de demain ».

—Pour lire la suite, cliquer ici.