Canalblog
Editer la page Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Ohoettilto-5 (oho-et-til-to-5)
Ohoettilto-5 (oho-et-til-to-5)
Publicité
Pages

Site. Partie 22. (10 pages environ.)

Pour lire ce qui précède, cliquer ici.

 

CHAPITRE 30

À L’ONGLET 3, LA PARTIE 3 : PREMIER ABORD

 

À l’onglet Communauté, la partie 3 du menu déroulant est nommée Organisation et Gouvernance, « Organisation & Governance ».
Cliquer dessus mène à une page dont le titre est un peu différent puisqu’il y a un z au lieu d’un s dans le mot « Organization ».
Il y a 29 entrées, « 29 Entries », qui sont 29 liens internet, chacun menant à une page.
Liste de tous, « Listing All », montre qu’il y a une répartition en trois groupes :
- Organisation & Gouvernance, « Organization & Governance » (avec un z) : 2 pages, les n° 1 et 2,
- Structure légale, « Legal Structure » : 8 pages, les n°3 à 10,
- Organisation interne, « Internal Organisation » (avec un s) : 19 pages, les n° 11 à 29.

Voici d’abord quelques lignes sur les mots organisation et gouvernance puis des remarques sur cette répartition de pages en trois groupes. Ensuite, ceux-ci sont présentés dans leur ordre en plusieurs chapitres.


LES MOTS ORGANISATION ET GOUVERNANCE

Ce mot organisation concerne en même temps le principe ou les principes, (l’esprit selon un sens ordinaire, général, de ce mot) et aussi leurs conséquences que sont les institutions qui sont créées d’après cet esprit.

Pour une présentation claire, il faudrait distinguer ces deux aspects.
Ainsi, certains principes peuvent être considérés bons à un moment puis, plus tard, considérés devoir être précisés, ou remplacés (et ça a des conséquences sur l’existence des institutions et leurs règles de fonctionnement).
Par ailleurs, certains principes peuvent être considérés comme bons à un moment et considérés comme impliquant la création de telles institutions fonctionnant de telle manière puis, plus tard, alors que ces principes continuent d’être considérés pareillement, on peut considérer que ces institutions devraient fonctionner différemment ou être remplacées par d’autres.
Sur le site internet d’Auroville, ne pas distinguer les deux aspects ne peut que créer de l’obscurité, de la confusion.

Il y a des pays qui sont situés complètement ou partiellement sur le continent européen et qui sont partenaires à des traités internationaux relatifs à ladite construction de l’Europe mais qui ne menèrent qu’à la création d’organismes internationaux dont plusieurs sont imbriqués entre eux, tous placés dans des bâtiments avec leurs parkings, jardins, etc. et avec aussi un jeu de mots.
Dans le cadre de ces traités, le mot gouvernance fut diffusé dans ces pays à propos des pouvoirs de décision qu’ont ces organismes, c’est-à-dire, précisément, à propos des pouvoirs de décision qu’ont certains organes de ces organismes. C’est un mot d’individus qui donnent à ces traités une portée plus large que celle de la réalité, ou, semble-t-il, d’individus qui jouent à avoir plus de pouvoir que celui qu’ils ont. (C’est un mot de fonctionnaires technocrates parce que les nations créèrent le système en jeu sans êtres consciences de ce à quoi ça aller mener.)

Sur le site internet d’Auroville, si on avait distingué entre les deux aspects indiqués plus haut, est-ce qu’on aurait éprouvé le besoin d’ajouter le mot Gouvernance ? En tout cas, cet ajout apporte le contraire de la clarté.


REMARQUES

En regardant le titre de la partie 3 (de l’onglet 3) et celui de ses trois groupes de pages, on pense comprendre que, dans cette partie, il est parlé d’abord de l’institution qui prend des décisions valant pour tout Auroville et de plusieurs s’il en est ainsi. (Lorsque l’on sait qu’il y a une loi indienne de 1988*, parmi ces institutions décisionnaires il y a la nation indienne, le Gouvernement central indien, et éventuellement d’autres pouvoirs publics indiens). On pense comprendre aussi qu’il est parlé d’autres institutions qui, sans être décisionnaires, participent aux prises de ces décisions valant pour tout Auroville, quelle qu’en soit la manière qui peut être de conseiller, de proposer, de recommander, etc.

D’ailleurs, on pourrait faire un classement en distinguant ces deux catégories.

Par contre, en regardant les titres, il est impossible de savoir s’il y a ou non autre chose.
Le mot organisation peut être relatif au territoire : les secteurs territoriaux, c’est-à-dire d’abord ceux de grande superficie, puis, pour chacun, ses quartiers, et avec les voies de circulation. Avoir un plan précis. (Au moins le début de cela peut être fait au cours du récit du début d’Auroville.) Le mot organisation peut aussi être relatif à toutes les institutions, ce nom désignant tout ce qui est institué, c’est-à-dire pas seulement celles qui prennent des décisions valant pour tout Auroville et celles qui, sans être décisionnaires, participent aux prises de ces décisions, mais aussi, par exemple le Matrimandir, le service financier, chaque maison de pension (Guest-house), chaque restaurant, le service d’évacuation des déchets, le service qui s’occupe des morts, chaque boutique. Le mot organisation peut aussi concerner les réseaux d’alimentation en eau, en électricité, etc. De cela, tout ce qui est à l’intérieur d’Auroville est de l’organisation interne.
Le nom Structure légale peut concerner tout ce qui précède si une loi en parle.
Ce qui précède suffit à montrer que la répartition en les trois groupes est mauvaise.

Ça montre aussi que, dans une présentation, qui est un classement, chaque titre d’une catégorie doit être expressif de ce que l’on veut dire, facilement compréhensible, avec une définition précise, n’être employé que pour elle, permettant de distinguer de ce qui est dit dans les autres catégories.

Sur un bon site internet, à propos de l’organisation d’Auroville, il faudrait commencer par indiquer ceci, selon les situations : l’organisation d’Auroville est ou devrait être conformes à l’essence de celle-ci, qui est présentée avant. Il faudrait ensuite présenter les règles générales qui n’auraient pas à être répétées dans toute la suite de la présentation.
Toutes les institutions devraient être classées de manière objective, permettant une compréhension facile à toute personne qui ne connait rien de la ville. Sinon, il y a un manque d’objectivation, une conséquence d’un repli sur soi, d’une vie dans son petit monde, dans son bocal. (En matière d’organisation et de fonctionnement, une complexité éventuelle n’empêche pas une prise en conscience et son expression en mots.)
Pour toutes les institutions, il faudrait distinguer clairement les domaines de compétence ou un seul si c’est le cas, et les pouvoirs exerçables dedans. (Par exemple, pour le domaine du logement, distinguer le pouvoir de décider la création de nouveaux logements, et celui de s’occuper de ceux qui existent déjà. Et, pour ces derniers, distinguer le pouvoir de s’occuper de leur entretien et celui de les attribuer à des occupants. Pour chaque domaine, selon la nécessité et les possibilités, un organisme peut avoir tous les pouvoirs ou ceux-ci peuvent être répartis entre plusieurs.
Toutes les institutions qui agissent dans le cadre de règles décidées par d’autres institutions seraient dans la même catégorie qui serait évidemment divisée en plusieurs sous-catégories.

Qu’est-ce qu’il y a sur le site internet d’Auroville ?

 


CHAPITRE 31

À L’ONGLET 3, PARTIE 3 :
LE GROUPE 1
ORGANISATION & GOUVERNANCE,
QUI A 2 PAGES

 
Ce groupe est titré Organisation & Gouvernance, « Organization & Governance ». Un ensemble et une de ses parties ont donc le même nom (à part la lettre différente) ! Ce n’est pas bien : il y a un problème de classement.

 

O3P3G1 : LA PAGE 1

La première des deux pages est titrée Histoire de l’organisation et implication du Gouvernement de l’Inde, « Organisational history and involvement of Government of India ». Dernière mise à jour le 15 avril 2015*.
Le texte commence ainsi.
Au cours des premières années d’Auroville, de 1968 à 1973, la Mère a directement dirigé le projet. Après son décès en novembre 1973, les habitants d’Auroville se retrouvèrent bientôt en face de la Sri Aurobindo Society, qui revendiquait le contrôle du projet. À partir de ce moment, la communauté commença à créer et à expérimenter sa propre structure organisationnelle.
« During Auroville’s first few years, from 1968 to 1973, the Mother directly guided the project. After her passing in November 1973, the residents of Auroville soon found themselves in confrontation with the Sri Aurobindo Society, who claimed control over the project. From this time onwards, the community started to create and experiment with its own organisational structure. »

Il est erroné de faire commencer Auroville en « 1968 » alors que ce fut avant.

La suite du texte concerne une loi indienne de 1980* et voici le début du passage.
En 1980, répondant aux demandes des résidents, le Gouvernement de l’Inde adopta la Loi sur les dispositions d’urgence d’Auroville, en vertu de laquelle la gestion de tous les actifs et entreprises liés à Auroville était, pendant une période limitée, dévolue au Gouvernement indien. Alors, la Sri Aurobindo Society contesta la constitutionnalité de la Loi, au motif principal qu’Auroville était une dénomination religieuse et que le Gouvernement avait violé la Constitution indienne lorsqu’il fit la Loi. En novembre 1982, la Cour constitutionnelle de la Cour suprême de l’Inde jugea qu’Auroville ne constituait pas une dénomination religieuse et que les enseignements de Sri Aurobindo ne représentaient que sa philosophie et non une religion. La validité de La loi fut confirmée.
La Loi sur les dispositions d’urgence d’Auroville initia une période de stabilité et de croissance renouvelées.
« In 1980, responding to requests from the residents, the Government of India passed the Auroville Emergency Provisions Act, whereby the management of all assets and undertakings relatable to Auroville were, for a limited period of time, vested in the Government of India. The Sri Aurobindo Society subsequently challenged the constitutional validity of the Act, on the main ground that Auroville was a religious denomination and that the Government had violated the Indian Constitution by passing the Act. In November 1982 the Constitution Bench of the Supreme Court of India judged that Auroville did not constitute a religious denomination, and that the teachings of Sri Aurobindo only represent his philosophy and not a religion. The validity of the Act was upheld.
The Auroville Emergency Provisions Act initiated a period of renewed stability and growth. »

Ce passage concerne la propriété des terrains et de ce qui est dessus, et aussi de savoir si ça relève ou non de la religion.
Est-ce que cette loi d’urgence de 1980* concernait aussi l’organisation d’Auroville en plus de ce qui relevait de la propriété ?
Puis il y a quelques lignes sur cette loi, qui créa un Administrateur, « Administrator » et un Conseil consultatif international, « International Advisory Council ». (Est-ce que ce serait à ce moment ou à propos de la loi de 88 que la création d’un tel Conseil aurait été demandée au Gouvernement central indien par des Auroviliens qui voulaient protéger Auroville contre des excès nuisibles qui pouvaient résulter de la loi allant être créée ?)

Puis il y a un paragraphe sur la loi de septembre 1988* et voici tout le passage.
En septembre 1988, le Gouvernement de l’Inde protégea Auroville une fois de plus en passant une Loi unique du Parlement, la Loi de 1988 sur la Fondation Auroville. Cette loi prévoyait, dans l’intérêt public, l’acquisition de tous les actifs et entreprises liés à Auroville sans paiement de compensation. Ces actifs, qui jusqu’alors étaient gérés par l’Administrateur en vertu de la Loi sur les Mesures d’Urgence d’Auroville, furent temporairement transférés au Gouvernement de l’Inde, dans le but de les transférer finalement à une personne morale créée pour ce but, la Fondation Auroville. La Fondation Auroville vint à l’existence en janvier 1991. Les actifs furent dévolus à la Fondation le 1er avril 1992.
« In September 1988, the Government of India protected Auroville once again by passing a unique Act of Parliament, the Auroville Foundation Act, 1988. This act provided, in the public interest, for the acquisition of all assets and undertakings relatable to Auroville without payment of compensation. These assets, which till then were managed by the Administrator under the Auroville Emergency Provisions Act, were temporarily transferred to the Government of India, with the aim of ultimately vesting them in a body corporate established for the purpose, the Auroville Foundation. The Auroville Foundation came into existence in January 1991. The assets were vested in the Foundation on April 1st, 1992. »

L’intérêt public de qui ou de quoi ? Le véritable intérêt était d’abord qu’Auroville puisse se développer selon le projet de la Mère de juin 65.
Il n’est parlé que de la propriété des biens immeubles et meubles qui existaient déjà, dont au moins les premiers relèvent de l’existence d’Auroville, comme si cette loi concernait seulement cela et pas aussi son organisation et son fonctionnement.
Cette loi est dite avoir protégé Auroville : est-ce qu’elle fit cela et seulement cela ? Elle le fit au moins à propos des terrains qui existaient déjà.
Tout ça concerne l’histoire d’Auroville et devrait être placé dans une partie expressément relative à cela, en étant précisé. Dans une partie relative notamment aux institutions actuelles d’Auroville, car c’est cela qui forme la plus grande quantité du contenu de cette partie 3 de l’onglet 3 du site, il devrait y avoir au plus un renvoi à cette partie histoire.


O3P3G1 : LA PAGE 2

La page 2 est titrée Questions fréquemment posées sur l’organisation et les références, « Frequently asked questions on organization and credentials ». Dernière mise à jour le 10 avril 2015*.
Il y a cinq questions et leur réponse et les voici toutes.

Question. Qui est en charge d’Auroville ?
Réponse. Alors que les actifs d’Auroville, et la responsabilité globale de s’assurer qu’elle atteint ses objectifs, sont entre les mains de la Fondation Auroville, la gestion quotidienne des affaires d’Auroville est entièrement entre les mains des Auroviliens. Auroville maintient une société totalement non hiérarchique.
Des corps comme le "Comité de travail" et le "Conseil d’Auroville" sont élus tous les deux ans parmi des bénévoles désireux de se consacrer à la satisfaction des besoins administratifs de base de la communauté, mais n’ont aucun pouvoir permanent.
La plupart des décisions importantes sont prises lors de réunions ad hoc de l’Assemblée des résidents où tous les Auroviliens sont à égalité libres de s’exprimer. En d’autres termes, tous sont essentiellement égaux et ont une voix égale dans les affaires de la communauté ; aucun individu ou groupe n’est "en charge".
Outre le Comité de travail et le Conseil d’Auroville (ci-dessus), Auroville encourage aussi la formation de "groupes de travail " capables de traiter des questions spécialisées telles que l’économie, les fermes, les soins de santé, le processus d’entrée, les besoins des unités commerciales, le logement, etc., mais ils restent toujours responsables devant la communauté dans son ensemble.
« Q. Who is in charge of Auroville ?
A. While the assets of Auroville, and overall responsibility for ensuring that it achieves its goals, are in the hands of the Auroville Foundation, day-to-day running of the affairs of Auroville is entirely in the hands of the Aurovilians. Auroville maintains a totally non-hierarchical society. 
Bodies like the ‘Working Committee" and ‘Auroville Council’ are elected bi-annually from volunteers willing to dedicate themselves to meeting the basic administrative needs of the community, but have no ongoing power. 
Most major decisions are taken at ad-hoc Residents Assembly meetings where all Aurovilians are equally free to express themselves. In other words, all are essentially equal and have an equal voice in the affairs of the community; no one individual or group is ‘in charge’. 
In addition to the WC and AVC (above), Auroville also encourages the formation of ‘working groups’ able to deal with specialized matters such as the economy, the farms, the health care, the entry process, the needs of commercial units, the housing and so on, but these always remain answerable to the community at large. »

Sur la page 1, la Fondation Auroville est présentée comme relative seulement à la propriété des biens mais, là, il est dit qu’elle sert aussi à autre chose.
Notamment, elle s’assure qu’Auroville atteint ses objectifs. D’abord, la première règle est celle de s’occuper d’être « le serviteur volontaire de la Conscience Divine ». À propos d’objectifs, il n’est pas parlé d’agir selon eux, mais de s’assurer qu’ils sont atteints. Lesdits objectifs qui sont évoqués sont-ils bons ?
Puis il est parlé de la gestion quotidienne sans dire qui créa l’organisation dans le cadre de laquelle existe cette gestion, puis il est dit qu’Auroville maintient une société totalement non hiérarchique sans dire qui créa une société organisée ainsi avant qu’elle soit maintenue ainsi.
Il est parlé de corps, « bodies » (comme le Comité de travail et le Conseil d’Auroville) sans dire si ce sont des organismes ou des organes internes à un organisme, ni qui les créa. Pourtant, il est parlé de la désignation de leurs membres et de leur fonctionnement.

Q. À qui appartient Auroville ?
R. Le terrain et les actifs d’Auroville sont détenus par un corps nommé par le Gouvernement appelé la Fondation Auroville. Tout est essentiellement propriété collective ; il n’y a pas de propriété privée de terrains ou de services publics à Auroville.
« Q. Who owns Auroville ?
A. The land and assets of Auroville are held by a Government appointed body called the Auroville Foundation. All is essentially collective property; there is no private ownership of land or utilities within Auroville. »

Le mot corps désigne un organisme.

Q. Quelle est la relation d’Auroville avec le monde extérieur ?
R. Auroville entretient des relations normales avec le monde extérieur. Elle n’est pas, ni ne souhaiterait être, en aucune façon isolée ou coupée du courant dominant de la vie en Inde et dans le reste du monde.
« Q. What is Auroville’s relationship with the outside world?
A. Auroville maintains normal relations with the outside world. It is not, nor would wish to be, in any way isolated or cut off from the mainstream of life in India and the rest of the world. »

À propos d’organisation et de fonctionnement interne, c’est hors-sujet.

Q. Avez-vous des autorités parmi vous ?
R. Auroville n’a pas d’’autorités’, au sens normal du terme fondé sur le pouvoir, mais donne la responsabilité de certaines fonctions et services clés liés à la communauté ― tels que le traitement des visas, les puits et l’eau, l’électricité, les télécommunications, etc. ― à des groupes d’individus qui traitent avec l’administration au nom du reste d’Auroville.
« Q. Have you authorities amongst yourselves?
A. Auroville has no ‘authorities’, in the normal power-based sense of the word, but gives responsibility for certain key functions and services relating to the community - such as visa processing, wells and water, electricity, telecommunications, etc - to groups of individuals who deal with the administration on behalf of the rest of Auroville. »

Ça ne dit rien sur les autorités qui prennent des décisions générales pour Auroville. Qui a la compétence pour donner une responsabilité à des groupes d’individus ? Chacun de ces groupes correspond-il à une institution ?

Q. Les partis politiques jouent-ils un rôle quelconque dans Auroville ?
R. Non. Toute participation à la vie politique est interdite à Auroville et, plus généralement, chez les Auroviliens. Auroville cherche l’unité et la politique de parti implique des activités partisanes, dans lesquelles les participants sont pour les uns et contre les autres.

« Q. Do party politics play any part in Auroville?
A No. Involvement in party politics is prohibited in Auroville, and by Aurovilians in general. Auroville seeks unity, and party politics involve partisan activities, in which participants are for some and against others. »

Est-ce qu’il est parlé des partis politiques indiens dans la vie de l’Inde ? Si oui, les Auroviliens n’ont pas à s’en mêler et ces partis n’ont pas à intervenir dans la ville.
Dans Auroville qui existe, est-ce qu’il est dit que tous les Auroviliens sont toujours d’accord sur tout à propos d’organisation et de fonctionnement de la ville ? Est-ce qu’il est dit qu’ils devraient l’être ? Par exemple, à propos de la forme de galaxie, est-ce que les Auroviliens qui dominent ne veulent pas qu’il y ait des opposants à cela, au nom de l’unité ? Si oui, ce serait de la tyrannie.
Objectivement, ce qui est écrit dans la deuxième phrase de réponse est que, dans Auroville, des Auroviliens dominent et ne veulent pas d’opposants.
Seuls des tyrans purent écrire une telle réponse.

 

 

CHAPITRE 32

À L’ONGLET 3, PARTIE 3 : POUR RÉPARTIR
TOUTES LES AUTRES PAGES DE CETTE PARTIE,
LE MAUVAIS CHOIX DE DEUX GROUPES :
STRUCTURE LÉGALE ET ORGANISATION INTERNE

 
Des pages sont réparties en deux groupes : Structure légale, « Legal Structure », et Organisation interne, « Internal Organisation », celle d’Auroville.
Ce classement est mauvais et, pour le constater, il suffit de savoir ceci.
L’organe nommé Assemblée des Résidents, « Residents’ Assembly », est classé à Structure légale (car il est prévu par la loi de 88) et pas à Organisation interne (à Auroville) alors qu’il en fait partie.
L’organe nommé Comité de travail, « Working Commitee », est classé à Organisation interne alors qu’il est prévu par la loi de 88, et aurait donc pu être placé sous le titre Structure légale.
L’organe nommé Conseil d’administration, « Governing Board », est classé à Structure légale alors qu’il fait aussi partie de l’Organisation interne d’Auroville d’après ses interventions dans celle-ci, importantes et touchant à tout ce qui se passe, dont les genres sont indiqués dans l’article 17 de la loi de 88 dont voici une traduction.
17. Les pouvoirs et fonctions du Conseil d’administration sont les suivants :
(a) promouvoir les idéaux d’Auroville et coordonner les activités et les services d’Auroville en consultation avec l’Assemblée des résidents aux fins de la cohésion et de l’intégration d’Auroville ;
(b) revoir les politiques de base et les programmes d’Auroville et donner les orientations nécessaires au développement futur d’Auroville ;
(c) approuver les programmes d’Auroville établis par l’Assemblée des résidents ;
(d) surveiller et examiner les activités d’Auroville et assurer la bonne gestion des propriétés dévolues à la Fondation en vertu de l’article 6 et d’autres propriétés se rapportant à Auroville ;
(e) élaborer un plan directeur d’Auroville en consultation avec l’assemblée des résidents et assurer le développement d’Auroville comme prévu ;
(f) autoriser et coordonner la collecte de fonds pour Auroville et prendre les dispositions nécessaires pour la réception et le décaissement des fonds destinés à Auroville.
Le texte en anglais est mis plus loin.

Le classement en les deux groupes, Structure légale, et Organisation interne, est donc mauvais et empêche de comprendre.

Ci-après, le premier enjeu étant de présenter le site internet d’Auroville, son classement en ces deux groupes est conservé.
Par contre, à l’intérieur de chacun, leurs pages ne sont pas présentées selon l’ordre du site mais selon un classement en plusieurs sous-groupes qui permet de mieux comprendre et que voici.
D’abord il est établi que le premier enjeu est de présenter des informations relatives à la loi de 88, aux institutions qui participent aux procédures de prise de décisions générales concernant tout Auroville (quelle que soit la nature de celles-ci qui peut être décisionnaire, de conseil ou autre), ainsi qu’à ces procédures et à la manière dont ça se passe en pratique. Pour les pages concernant cela, un classement est établi d’après ce qui est écrit dessus et d’après ce qui en est compris, et il y a donc peut-être des erreurs mais elles peuvent être corrigées.
Un autre enjeu est de présenter d’autres institutions qui, elles, ne participent pas aux prises de décisions générales concernant tout Auroville.
Ce qui n’est pas tout ce qui précède est établi hors-sujet, que ça soit des pages entières, des parties de page ou des pages auxquelles on accède en cliquant sur un lien internet.

Le groupe nommé Structure légale contient les pages 3 à 7 et celles-ci sont ci-après complétées par l’indication de deux pages qui manquent sur le site internet présenté puisqu’elles devraient exister.

Pour lire la suite, cliquer ici.

Publicité
Publicité
Publicité