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Ohoettilto-5 (oho-et-til-to-5)
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Site. Partie 49. (6 pages environ.)

Pour lire ce qui précède, cliquer ici.

 

À propos de la règle Respecter les lois de l’Inde, des individus vivant dans Auroville pourraient peut-être mieux développer ce sujet, en distinguant la règle et la pratique.
Selon cette règle, la position de l’Inde à propos de Gandhi devrait être acceptée par les Auroviliens alors que celle de Sri Aurobindo et la Mère devrait être combattue. À ce sujet, la règle pousse à la déviation ou à l’hypocrisie, au mensonge, etc. Tout cela est aussi conforme à l’origine ténébreuse de la règle générale du respect de toutes les lois de l’Inde. Ce sont des serviteurs des ténèbres qui la placèrent.
Une volonté de domination poussa l’Inde à placer la règle.
L’Inde voudrait qu’Auroville n’ait aucune influence en elle alors qu’elle se flatte de l’existence de cette ville sur son sol et de contribuer à créer de l’unité humaine !
Tout Indien en Inde peut contester une règle juridique, notamment une loi, et c’est d’ailleurs pour cela que, constamment, on en modifie, on en supprime, on en crée. Lorsqu’un Indien devient Aurovilien, il perd le droit d’agir pour améliorer la situation (ce qui peut se faire sans être membre d’un parti politique et sans participer aux élections ne serait-ce qu’en votant).
Un Aurovilien qui respecte la règle ne peut pas exprimer tout ce qui précède. S’il ne la respecte pas, il ne peut pas, censément, soutenir qu’elle doit exister.
Quelqu’un qui vit hors d’Auroville peut exprimer tout ce qui précède et c’est ce qui est fait ici. Son site internet ou blog peut être interdit en Inde mais les feuilles de papier peuvent circuler discrètement. De France provient ce qui relève notamment de la lumière et de la liberté. Ce dernier mot sera probablement le nom particulier du Pavillon de la France (le vrai, celui qui finira par exister en conséquence d’évènements en ce pays) dans la Zone internationale d’Auroville (la vraie, celle qui finira par exister).

Ici est la fin de la présentation de la règle Respecter les lois de l’Inde.

C’est aussi celle du passage qui commence par : Pour rejoindre Auroville, il faut.

Depuis quand l’idéologie qu’il contient est-elle en vigueur dans Auroville ? Quelle était celle ou celles en vigueur avant ? Qui va étudier et publier leur historique ?
L’idéologie indiquée dans le document effectue un remplacement de ce qu’avait annoncé la Mère pour cette ville, effectue une usurpation. Elle est forcément momentanée, même si elle dure plusieurs décennies ou plusieurs siècles. La lumière finira par triompher des ténèbres.

Les règles ci-dessus à partir de : il faut : 1. Être inspiré par, relèvent du statut de tout Aurovilien. Elles devraient donc être indiquées dans un document dont un titre indique cela. Est-ce qu’il y en a un ? Si oui, il n’est pas sur le site internet d’Auroville.
Si le seul texte juridique où ces règles sont indiquées est celui présenté et commenté, son titre est mauvais aussi à ce sujet puisqu’il ne concerne pas seulement l’entrée dans la population aurovilienne mais aussi ce qui existe après l’entrée.
Sur un bon site internet d’Auroville, le statut d’Aurovilien, dit aussi Résident, et les autres devraient être présentés dans une partie descriptive d’Auroville sauf son essentiel, précisément descriptive de sa population, ne serait-ce que par des citations d’extraits du document commenté tant qu’il ne sera pas remplacé, celui qui a un texte principal et six annexes.
Mais il n’y a rien sur le site internet d’Auroville qui existe actuellement.
Et, sur ce site, c’est donc seulement à l’onglet : Ce que vous pouvez faire, vous qui êtes à l’extérieur d’Auroville, à l’extérieur de nous, dans la partie : Rejoindre Auroville, c’est-à-dire : nous rejoindre, qu’il y a une description de nous. C’est un mauvais classement.

Dans la suite du document de 9 pages dont il y a ci-dessus un extrait commenté, il y a notamment l’indication des organes et de leur composition à propos de la procédure d’admission dans tous les statuts qui sont énumérés à la fin.
Ce document de 9 pages est le premier texte, le texte principal, d’un document qui est composé aussi de six annexes.
Sur la page du site internet d’Auroville, on peut accéder à chacune en cliquant successivement sur les autres boutons verts de lien, et voici ce qu’elles contiennent.

Document 2 : Annexe A. 2 pages.

« Words of the Mother and More », Paroles de la Mère et plus.

Quelle est la signification de l’ajout : et plus ?

Cette annexe n’a aucun titre, pas même celui d’Annexe A.
Il y a seulement trois textes, le dernier étant suivi par « - The Mother », - La Mère, pour montrer qu’elle est l’auteure des trois.

Le premier texte a pour titre « Charter of Auroville », « Charte d’Auroville ».
Sa date n’est pas indiquée. Il fut rendu largement public le 28 février 68.
Il commence par « Auroville belongs to nobody in particular », « Auroville n’appartient à personne en particulier », ce qui n’empêcha pas l’Inde de s’approprier Auroville puisqu’elle se comporte comme si elle en était la propriétaire. Cette position de ce pays finira par un échec.
Il y a aussi l’élément essentiel concernant la population d’Auroville : « to live in Auroville, one must be a willing servitor of the Divine Consciousness », « pour séjourner à Auroville, il faut être le serviteur volontaire de la Conscience Divine ».

Le deuxième texte qui est censé être reproduit a pour titre « A Dream », « Un Rêve ».
Sa date n’est pas indiquée. Il fut publié en aout 54 dans le Bulletin du Centre International d’Éducation Sri Aurobindo.
Il commence ainsi : « There should be somewhere on earth a place which no nation could claim as its own », « Il devrait y avoir quelque part sur la terre un lieu dont aucune nation n’aurait le droit de dire : "Il est à moi" ». L’Inde ne dit pas qu’Auroville lui appartient mais elle se comporte cependant comme si elle était sa propriétaire. A-t-elle « le droit » d’agir ainsi ? Oui d’un point de vue puisqu’Auroville existe sur son sol. Non d’un autre point de vue qui est celui qu’avait la Mère, celui de la manifestation supramentale.
Le texte contient ceci. « There should be somewhere on earth a place […] where all human beings of goodwill who have a sincere aspiration could […] obey one single authority, that of the supreme Truth », « Il devrait y avoir quelque part sur la terre un lieu […] où tout homme de bonne volonté ayant une aspiration sincère pourrait […] n’obéir qu’à une seule autorité, celle de la suprême vérité ». Ça correspond à « pour séjourner à Auroville, il faut être le serviteur volontaire de la Conscience Divine ». Ça se fait à la mesure de chacun.
Il y a aussi ceci. « In this place, children would be able to grow and develop integrally without losing contact with their souls », « dans cet endroit, les enfants pourraient croître et se développer intégralement sans perdre le contact avec » leurs âmes. Oui ! dans ce texte juridique d’Auroville, il y a une lettre s finale au mot âme. Voici une capture d’écran du début de plusieurs lignes et où il y a le mot « souls », au pluriel.

Il est fait comme si chaque être humain avait plusieurs « âmes », à moins qu’il y ait un changement de signification, une déformation, pour faire dire au mot de la Mère autre chose que ce qu’avait dit celle-ci, désignant plusieurs parties de la personnalité. Mais ce fut probablement inconsciemment que cette lettre s fut placée.

Elle existe aussi sur la page du site internet qui, au quatrième onglet, dans la partie « Join Auroville » est titrée « Essential Auroville texts », Textes essentiels d’Auroville. Dernière mise à jour le 28 janvier 2019*. Le texte est copié spécialement pour le site internet d’Auroville. Voici une capture d’écran du début de plusieurs lignes et où il y a le mot « souls », au pluriel.

Quoi qu’il en soit, le texte de la Mère concerne une absence de perte de contact alors que souvent, c’est la perte qui existe et, après, il faut recréer le contact. Dans les deux cas, il est parlé de contact avec ce qui, en soi, a notamment la fonction de guide intérieur.

Dans ce document juridique, le texte « A Dream », « Un Rêve » est présenté comme étant complet puisqu’il n’est pas dit qu’il ne l’est pas. Pourtant il est tronqué puisque sa fin n’est pas reproduite. Elle est ceci. « La terre n’est pas prête pour réaliser un semblable idéal, parce que l’humanité ne possède pas encore la connaissance suffisante pour le comprendre et l’adopter, ni la force consciente indispensable à son exécution ; et c’est pourquoi je l’appelle un rêve. [Ici, un aller-à-la-ligne-suivante.] Pourtant, ce rêve est en voie de devenir une réalité ; et c’est à cela que nous nous efforçons à l’Ashram de Sri Aurobindo, sur une toute petite échelle, à la mesure de nos moyens réduits. La réalisation est certes loin d’être parfaite, mais elle est progressive ; et petit à petit, nous nous avançons vers notre but qui, nous l’espérons, pourra un jour être présenté au monde comme un moyen pratique et efficace de sortir du chaos actuel pour naître à une vie nouvelle plus harmonieuse et plus vraie. » Est-ce que « l’Ashram de Sri Aurobindo » est encore dans la situation indiquée ? Auroville est un lieu où le « rêve » pourra devenir une réalité…. dans longtemps. Pour l’instant, il y a le Matrimandir mais il n’y a même pas encore le bon positionnement mental relatif à l’essentiel à vivre, chacun à sa mesure.
L’idéologie mauvaise qui domine actuellement dans Auroville évacue l’essentiel, pousse à ne pas accomplir ce qui est faisable immédiatement, au moins s’occuper de suivre son guide intérieur (en commençant par s’occuper de reconnaitre en soi ce que c’est). À la place de cela, elle fait s’obnubiler sur un rêve, un idéal, c’est-à-dire s’obséder sur une situation lointaine, qui existera lorsque beaucoup d’Auroviliens au moins agiront en se faisant chacun « serviteur volontaire de la Conscience Divine » et en étant très développés.

Le troisième texte a pour titre « To be a True Aurovilian », « Pour être un vrai Aurovilien ».
Sa date n’est pas indiquée. Il est du 13 juin 1970*. (Livre : Paroles de la Mère I, pages 225 et 226.)
Le début de ce texte est ceci.

« The first necessity is the inner discovery by which one learns who one really is behind the social, moral, cultural, racial and hereditary appearances. At our inmost centre there is a free being, wide and knowing, who awaits our discovery and who ought to become the acting centre of our being and our life in Auroville. »
« 1. La première nécessité est la découverte intérieure pour savoir ce que l’on est vraiment derrière les apparences sociales, morales, culturelles, raciales, héréditaires. [Ici, un aller-à-la-ligne-suivante.] Au centre il y a un être libre, vaste, connaissant, qui s’offre à notre découverte et qui doit devenir le centre agissant de notre être et de notre vie à Auroville. »
Le « centre agissant » est l’être psychique, qui est le guide intérieur. Sa « découverte », le découvrir, est la « première nécessité ». Après avoir reconnu ce que c’est, qui avait déjà fait agir correctement, il faut le prendre comme guide de vie. Ça se fait à la mesure de chacun.

Plus loin il y a ceci.
« Work, even manual work, is an indispensable thing for the inner discovery. […] One should organize life not according to outer, artificial rules, but according to an organized, inner consciousness, because if one allows life to drift without imposing the control of a higher consciousness, life becomes inexpressive and irresolute. »
« 4. Le travail, même manuel, est une chose indispensable à la découverte intérieure. […] On doit organiser sa vie […] selon une conscience organisée intérieure, parce que si on laisse la vie sans lui imposer le contrôle de la conscience supérieure, elle devient flottante et inexpressive. […] »
Le travail est un moyen mais il n’est pas dit que c’est seulement lorsque l’on travaille qu’il y a de l’effort de développement à faire. D’ailleurs, après il est parlé de l’organisation de « sa vie », c’est-à-dire de toute celle-ci, selon ce qui est indiqué.

Autre passage qui est la fin du texte.

« The whole earth must prepare itself for the advent of the new species, and Auroville wants to consciously work towards hastening that advent. [Ici, un aller-à-la-ligne suivante.] Little by little it will be revealed to us what this new species should be, and meanwhile the best measure to take is to consecrate oneself entirely to the Divine. »
« 5. La terre tout entière doit se préparer à l’avènement de l’espèce nouvelle, et Auroville veut travailler consciemment à hâter cet avènement.
6. Peu à peu, nous sera révélé ce que doit être cette espèce nouvelle, et en attendant, le meilleur moyen est de se consacrer entièrement au Divin. »
« se consacrer entièrement au Divin » c’est être « entièrement » « le serviteur volontaire de la Conscience Divine ». Avant d’être « entièrement » cela, il y a ce que fait chacun à sa mesure. Plusieurs vies peuvent être nécessaires.

Ce fut en se référant notamment à ces trois textes qu’il fut écrit ceci qui est déjà reproduit et commenté plus haut.
Pour rejoindre Auroville, il faut :
1. Être inspiré par la "Charte" d’Auroville et aspirer à concrétiser les idéaux d’Auroville, tels qu’exprimés dans les directives de la Mère et dans des documents tels que "Le Rêve" et "Pour être un vrai Aurovilien" (voir l’Annexe A) ;
2. Être disposé à poursuivre la manifestation des idéaux d’Auroville en fonction de ses capacités ; (Fin.)

Comme déjà dit, le passage « pour séjourner à Auroville, il faut être le serviteur volontaire de la Conscience Divine » n’est pas une source d’inspiration, une source d’imagination, où chacun s’imagine agir correctement, se raconte des histoires, s’illusionne. Soit il y a, pour chaque moment, chaque action, la position d’être un tel « serviteur », soit il n’y a pas cela. Ça se fait à la mesure de chacun.
Par ailleurs, dire que « La première nécessité est la découverte intérieure » est seulement un idéal signifie qu’on n’a pas encore découvert ça en soi, et que ce n’est pas « le centre agissant de notre être et », pour les individus vivant à Auroville « le centre agissant » de leur « vie ». Il n’y aurait pas encore un début d’organisation de « sa vie […] selon une conscience organisée intérieure ».
La situation de « se consacrer entièrement au Divin » est un idéal mais, avant, il n’y a pas rien. On ne passe pas en un bref instant de rien à tout.
Le guide intérieur agit avant qu’on sache qu’il existe et c’est lui qui pousse, lorsque ça arrive ainsi, à entendre parler de Sri Aurobindo et la Mère, et, à cause d’un fait, à se retrouver sur leur chemin alors qu’on ne connait encore presque rien. Ça commence comme ça commence. Les auteurs du texte font comme s’ils ne connaissaient rien à cela.

 

Pour lire la suite, cliquer ici.

 

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